Metodo

International Studies in Phenomenology and Philosophy

Journal | Volume | Article

166740

Pratique de l'interprétation, pratique de la traduction 

le cas de la Comédie Ancienne et l'exemple des "noms parlants"

Anne de Cremoux

pp. n/a

Abstract

L’auteure présente ici un exemple des liens associant l’interprétation et la traduction, celui de la comédie ancienne d’Aristophane. Dans une première partie, elle expose les problèmes généraux de la traduction, quelques-unes de ses théories et certains des obstacles qu’elle rencontre de manière permanente, avant de se concentrer progressivement sur les problèmes théoriques et pratiques particuliers que l’on rencontre en traduisant une comédie grecque ancienne, et la difficulté à proposer une méthode permanente. Dans une seconde partie, l’auteure expose des cas concrets de ces problèmes, en abordant la question de la traduction des noms propres « parlants » : elle présente plusieurs exemples de solutions proposées pour traduire ces noms, avec leurs intérêts et leurs limites dans chaque cas, et avec leurs présupposés théoriques. L’auteure conclut sur la nécessité de traduire ces noms de comédie au cas par cas, en se fondant sur la priorité donnée par M. de Launay à la traduction des « articulations de sens ».

Publication details

Published in:

Berner Christian, Blaise Fabienne, Keiff Laurent (2013) Pratiques de l'interprétation. Methodos 13.

DOI: 10.4000/methodos.2984

Full citation:

de Cremoux Anne (2013) „Pratique de l'interprétation, pratique de la traduction : le cas de la Comédie Ancienne et l'exemple des "noms parlants"“. Methodos 13, n/a.